Conversations autour de la charge mentale

Tu le sais: j’aime beaucoup les métaphores, les images pour m’approprier un sujet ou partager mes idées.

Récemment, j’ai découvert l’expression « mère pélican » et j’ai pensé à des conversations que j’ai eues avec plusieurs d’entre vous.

[Attention : c’est un peu lugubre ! ]

Selon une légende, les mères pélicans peuvent aller jusqu’à prélever des fragments de leur propre chair pour nourrir leurs bébés. Ce qui est terrible, c’est que du côté des humaines, une étude canadienne vient de confirmer que les femmes seules à faibles revenus se sacrifient régulièrement pour nourrir leurs enfants, jusquà se priver elles-mêmes de nourriture. On parle du syndrome de la mère pélican.


On pourrait se dire que ça ne nous concerne pas tellement, nous qui mangeons à notre faim. Mais la façon dont certaines se sacrifient pour leur famille me fait penser aux mères pélicans : parfois, nous nous oublions au point d’en devenir malades. Nous voulons être bonnes en tout mais comme le dit l’adage, le mieux est l’ennemi du bien.

Parfois, même si nous nous le refusons, nous le savons au fond de nous : il vaudrait mieux se foutre la paix, se taire, ne plus bouger, écouter notre voix intérieure et comprendre ce dont nous avons besoin : nous avons besoin de comprendre les besoins qui s’expriment à travers notre zèle souvent excessif.

C’est Patricia Mignone qui m’a amenée à réfléchir en ce sens. Patricia est une coache de la génération de nos parents et son approche de la charge mentale est très novatrice. 
Pour éclairer le problème de la charge mentale, elle a dialogué avec 24 professionnels du changement, auteurs, thérapeutes, coaches, artistes, philosophes qui apportent des pistes super intéressantes sur le sujet grâce auxquelles nous allons voir la vie tout différemment.


Je pense que tu vas trouver beaucoup d’inspiration dans ces Conversations autour de la Charge Mentale. Tu peux participer en cliquant sur ce lien.